Jean-Claude Morisot: de Tête d'or à L'écriture du visage

Auteurs-es

  • Henri Godard Paris IV-Sorbonne

Résumé

Jean-Claude Morisot est mort prématurément, à soixante-deux ans, au moment où il venait de prendre sa retraite de professeur et s'apprêtait à écrire un livre qu'il méditait depuis longtemps. Il avait trouvé au Canada, où il s'est établi dès 1965, les conditions de vie et de travail qu'il souhaitait. Il y a réalisé toute sa carrière (de 1965 à 1968 en Ontario, et depuis au Département de langue et littérature françaises de l'Université McGill). Plusieurs de ses communications et de ses articles n'ont été publiés que dans des revues pour spécialistes. Tout un travail de chercheur et de critique reste donc à découvrir pour un public plus large. Le livre qui devait en être le couronnement est, lui, à imaginer à partir d'une introduction qui demeure la seule partie rédigée et de divers documents préparatoires.[...]

Références

«L'Histoire et le Mythe dans Tête d'or», dans Paul Claudel 4,

Paris, «Revue des lettres modernes», 1967, p. 7-29.

« De Tête d'or au Repos du Septième Jour: Dieu et la "peur de

Dieu"», dans Paul Claudel 5, Paris, «Revue des lettres modernes

», 1968, p. 7-24.

«Conte bleu, chasse noire (Sur une "légende" de Victor

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«André Malraux et le temporel>>, supplément littéraire du

Devoir, novembre 1973.

«Éloge du sorcier» (sur La Tête d'obsidienne, d'André Malraux),

supplément littéraire du Devoir, 4 mai 1974.

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dans Cahiers de l'Association internationale des Études françaises,

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«Victor Hugo et la révolution américaine», Revue d'Histoire Littéraire

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«Ambivalences de la modernité: Conversations dans le Loir-etCher

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«Rimbaud et les "enfances" du récit: entre contes et collège»,

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«Visages et caractères », dans Louis van Delft (éd.), Le Tricentenaire

des «Caractères», Papers on French Seventeenth-Century

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et littérature françaises de l'Université McGillle 4 mars 1988,

Paris-Seattle-Tübingen, 1989, p. 83-93.

«Stendhal et l'autre révolution», Stendhal Club, CXXVI (1990),

p. 160-168.

«Le frénétique et le quotidien: Hugo, Zola et le "rire de

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«Parole en ruine: la dévotion de Rimbaud», Poétique, no 108

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«Rimbaud verlainisant et pétrarquisant: à propos de Dévotion»,

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«Roman-théâtre, roman-musée », dans Stéphane Vachon (éd.),

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Universitaires de Vincennes, 1996, p. 133-142.

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Publié-e

2017-07-20